Les 10 mots similaires ou synonymes de eïdos

morphè    0.797543

infestante    0.753161

paractaea    0.749104

morphé    0.742154

oblancéolée    0.733411

lénifiée    0.722587

substantivée    0.715830

fuorma    0.712124

ovoïdale    0.707688

mizenkei    0.694243

Les 30 mots analogues ou les synonymes de eïdos

Article Example
Quartz hématoïde Hémato-, du grec ancien αι̃μα, αι̃ματος (aïma, aïmatos) « sang » et -oïde, du grec ancien -ειδής de ει̃δος (eïdos) « forme, aspect ».
Cladode Les termes cladode et phylloclade sont formés à partir du grec ancien : κλάδος (klados) « branche » ; -ode, -ειδής de εἶδος (eïdos) « forme, aspect » ; et phyllo, φύλλον (fullon) « feuille ».
Aristote Pour Aristote, l'essence ou la forme ("eïdos morphè") ne peut exister qu'incarnée dans une matière ("hulé"). Cela le conduit à élaborer .
Géode (minéral) Une géode (du grec "γεώδης - geodes", «comme la terre» : γη̃ (guê) « terre » et de -ειδής de ει̃δος (eïdos) « forme, aspect ») est une cavité rocheuse tapissée de cristaux souvent automorphes et d'autres matières minérales. Le fait que le terme géode se réfère à la rotondité de la terre a amené un débat en minéralogie et en géologie afin de savoir si seules les cavités arrondies pouvaient être qualifiées de géodes ou non. La géode n'est pas un minéral distinct mais une composition de formations magmatiques, cristallines et/ou sédimentaires largement répandue à travers toute la planète. C'est également la source principale des minéraux des collections minéralogiques car c'est un milieu optimal pour les formations minérales diverses.
Aristote Aristote aborde la psychologie dans deux ouvrages, le "De l'âme", qui aborde la question d'un point de vue abstraite et le "Parva Naturalia". La conception aristotélicienne de la psychologie est profondément différente de celle des modernes. Pour lui, la psychologie est la science qui étudie l'âme et ses propriétés. Aristote aborde la psychologie avec une certaine perplexité tant sur la manière de procéder à l'analyse des faits psychologiques, que sur le fait de savoir s'il s'agit d'une science naturelle. Dans "De l’âme", l'étude de l'âme est déjà du domaine de la science naturelle ; dans le "Parties des Animaux", pas entièrement. Un corps est une matière qui possède la vie en puissance. Il n'acquiert la vie réelle qu'à travers l'âme qui lui donne sa structure, son souffle de vie. Selon Aristote, l'âme n'est pas séparée du corps pendant la vie. Elle l'est seulement quand la mort survient et que le corps ne se meut plus. Aristote conçoit l'être vivant comme un corps animé ("empsucha sômata"), c'est-à-dire doté d'une âme — qui se dit "anima" en latin et "psuchè" en grec. Sans l'âme, le corps n'est pas animé, pas vivant. Aristote écrit à ce propos : . Aristote, en opposition aux premiers philosophes, place l'âme rationnelle dans le cœur plutôt que dans le cerveau. Selon lui, l'âme est aussi l'essence ou la forme ("eïdos morphè") des êtres vivants. Elle est le principe dynamique qui les meut et les guide vers leurs fins propres, qui les pousse à réaliser leurs potentialités. Comme tous les êtres vivants ont une âme, il s'ensuit que les animaux et les plantes entrent dans le champ de la psychologie. Toutefois, tous les êtres vivants n'ont pas la même âme ou, plutôt, les âmes ne possèdent pas toutes les mêmes fonctions. L'âme des plantes a seulement une fonction végétative, responsable de la reproduction, celle des animaux possède à la fois des fonctions végétatives et sensitives ; enfin, l'âme des êtres humains possède trois fonctions : végétative, sensitive et intellectuelle. À chacune des trois fonctions de l'âme correspond une faculté. À la fonction végétative que l'on rencontre chez tous les vivants, correspond la faculté de nutrition car la nourriture en tant que telle est nécessairement liée aux êtres vivants ; à la fonction sensible correspond la perception ; à la fonction intellectuelle correspond l'esprit ou la raison ("nous") c'est-à-dire ("De l’âme" III 4, 429a99-10). L'esprit se situe à un niveau de généralité plus élevé que la perception et peut atteindre la structure abstraite de ce qui est étudié. À ces trois fonctions, Aristote ajoute le désir, qui permet de comprendre pourquoi un être animé engage une action en vue d'un but. Il suppose, par exemple, que l'homme désire comprendre.