Les 10 mots similaires ou synonymes de verhältniss

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Les 30 mots analogues ou les synonymes de verhältniss

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Ferdinand Christian Baur Dans son essai "Kritische Untersuchungen über die kanonischen Evangelien, ihr Verhältniss zu einander, ihren Charakter und Ursprung" ("Recherches critiques sur les Évangiles canoniques", 1847), il développe l'idée que les Évangiles canoniques sont des traductions ou des adaptations de textes plus anciens comme les Évangiles des Hébreux, de Pierre, des Égyptiens ou des Ébionites. Selon cette thèse, l'Évangile (pétrinien) selon Matthieu est le plus proche de l"'Urevangelium", celui (paulinien) de Luc est ultérieur et enfin celui de Marc est le plus tardif.
Hermann Cohen (philosophe) Il commence de bonne heure à étudier la philosophie et devient bientôt l'un des meilleurs connaisseurs de Kant. Il fait ses études au gymnase de Dessau, au gymnase Saint-Matthias de Breslau et au , puis aux universités de Breslau, de Berlin et de Halle. En 1873, il devient assistant à la faculté de philosophie de l'université de Marburg, la thèse avec laquelle il obtient son "venia legendi" étant "Die systematischen Begriffe in Kant's vorkritischen Schriften nach ihrem Verhältniss zum kritischen Idealismus". En 1875, il est élu professeur extraordinaire et l’année suivante professeur ordinaire à Marbourg.
Franz Overbeck Il avait trouvé l'occasion de ce livre à la parution de l'ouvrage "Von alten and neuen Glaube (L'Ancienne et la Nouvelle Foi)" (1872) de David Strauss, le célèbre auteur d'une controversée "Vie de Jésus" qui avait fait scandale en son temps, ainsi que de celui de Paul de Lagarde, "Über das Verhältniss des deutschen Staates zu Theologie, Kirche und Religion (La Relation de l'État allemand à la théologie, à l’Église et à la religion)" (1873). Les deux représentaient pour Overbeck une tentative d'édifier une « religion (chrétienne) moderne » à l'aide de la théologie. Or, il estimait cela impossible et infaisable. Dans la préface à la seconde édition de 1903, il renouvela la même critique en la dirigeant cette fois contre le plus fameux théologien du moment, Adolf von Harnack dont l'œuvre célèbre "L'Essence du christianisme", venait de paraître. Pour Overbeck, ce livre « témoignait bien plus profondément du caractère inessentiel du christianisme que de son essence ! »