Les 10 mots similaires ou synonymes de marashi

seyed    0.616566

yazdi    0.611628

ghassemi    0.609196

saeb    0.604200

ghasem    0.601331

mousavi    0.600644

seyyed    0.597865

kambiz    0.597339

khaleghi    0.595806

qari    0.594271

Les 30 mots analogues ou les synonymes de marashi

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Conseil national irano-américain Le CNIA estime qu’une nouvelle approche qui exclut des sanctions non ciblées est nécessaire. Le président du CNIA, Trita Parsi, et le directeur de recherche, Reza Marashi, soutiennent que les sanctions sont paralysantes mais qu’elles touchent davantage la population iranienne que ses dirigeants. Par ailleurs, ils expliquent que les sanctions n’ont pas ralenti le programme nucléaire de Téhéran :
Salon du livre des Balkans Artiste albanais d’une culture encyclopédique, à la fois peintre et sculpteur, architecte, ingénieur, musicien, photographe et pionnier de la projection cinématographique dans son pays, Kolë Idromeno est né à Shkodër (Albanie) le 15 août 1860. Les dix-sept clichés réunis dans cette exposition grâce au Centre des études albanaises, à Tirana, sont pour la première fois présentés en France, grâce au concours de Ardian Marashi responsable des enseignements d'albanais à l'Inalco, par Albania qui œuvre depuis 1997 à mieux faire connaitre la culture albanaise en France.
Émeutes de juin 1963 en Iran Baqai contacta ensuite de nombreux ayatollahs et les invita à soumettre Khomeini à un examen mettent et lui pour alors lui attribuer sans grande discussion le titre d'ayatollah. L'ayatollah Mohammad Taghi Amoli qui habitait à Téhéran, accepta immédiatement et déclara qu'il reconnaissait Khomeini comme un Ayatollah et un Chef supérieur ecclésiastique. L'ayatollah Mohammad Hadi Milani de Mashhad suivit le 6 juillet 1963. Un jour plus tard, le 7 juillet, c'étaient l'ayatollah Kazem Shariat-Madari et l'ayatollah Shahab al Din Marashi Najafi qui reconnaissaient Khomeini comme un Ayatollah et un Chef supérieur. Cependant, l'ayatollah Mohammad Reza Golpayegani, jusqu'ici l'une des plus grandes figures de haut rang, refusa fermement de reconnaître Khomeini comme ayatollah.
Émeutes de juin 1963 en Iran Après le transfert de Khomeiny dans la maison surveillée, les procès des responsables (encore 18 personnes) commencèrent le 2 août 1963. Le procès commença cependant lors de la campagne pour les élections du parlement. Les ayatollahs Shariatmadari, Choi, Milani, Marashi, Najafi déclarèrent le 5 octobre 1963 à 12h qu'une grève aurait lieu en faveur de la libération des prisonniers. Cependant, les élections se dérouleraient sans incident, de sorte que le Parlement puisse être convoquée le 6 octobre 1963 pour sa réunion constitutive. Le lendemain, comme un geste de bonne volonté par le gouvernement tous les ayatollahs encore en résidence surveillée furent libérés. Seul Khomeiny fut maintenu en résidence surveillée. L'Ayatollah Shariatmadari était retourné à Qom et recommença à enseigner dans son école religieuse. Il tint cependant un discours dans lequel il condamnait le fait que Khomeiny soit sous observation supplémentaire, bien qu'il posséda les dignités de Marja et de chef suprême religieux, ce qui violait son immunité juridique et qu'il était illégal de le poursuivre en justice ou de le condamner.