Les 10 mots similaires ou synonymes de indicis

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Les 30 mots analogues ou les synonymes de indicis

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La Scuola Cattolica ^ Uboldo Valentini (ed.), La Scuola Cattolica. Indicis 1902-1922, Venegono Inferiore (VA), 1968, p. 5.
Congrégation de l'Index La congrégation de l'Index ("Sacra Congregatio Indicis") était une institution de l'Église catholique romaine chargée d'examiner les livres, et de signaler, dans l'Index librorum prohibitorum, ceux dont elle défendait la lecture absolument ("donec expurgetur"), ou jusqu'à ce qu'ils soient corrigés ("donec corrigatur").
Jean Faber En fondant l’académie des Lyncéens, Cesi favorise la publication de l’ouvrage composé par, l'éditeur napolitain, Nardi Antonio Recchi sur l’histoire naturelle du Mexique, d’après les manuscrits laissés par Francisco Hernández, médecin de Philippe II d'Espagne. Aucun des "Lincei" ne remplit plus promptement que Faber le désir de l’illustre fondateur de l’académie. Cet ouvrage sur la zoologie du Mexique est achevé à Rome sous titre "De animalibu indicis Apul Mexicum", en 1628, in-fol. mais la publication en fut retardée jusqu’en 1651 date à laquelle parut la première édition de l’ouvrage de Recchi ou plutôt d’Hernández. Les ajouts de Faber ne font pas référence car son travail a consisté, en majeure partie, à illustrer et à commenter l'ouvrage ; ce qui est par conséquent très mineur.
Jacques Labitte L'utilité du travail de Labitte fut appréciée par tous les jurisconsultes ; et ce fut d'après son plan qu'Antonio Agustín et Jean-Wolfgang Freymon s'empressèrent d'éclaircir et de ranger dans un nouvel ordre, l'un les lois du "Digeste", et l'autre celles du corps de droit avant Justinien. Abraham Wieling a complété ces essais, et les a réunis dans sa "Jurisprudentia restituta, sive Index chronologicus in totum juris Justiniancei corpus", etc., Amsterdam, 1727, 2. vol. in-8° ; il y a ajouté, quatre opuscules, dont l'un, intitulé "Usus indicis Pandectarum", est de Labitte, et est accompagné de notes de Guillaume Schmucke. Cependant, il y eut toujours un assez grand nombre de professeurs et d'écoliers qui restèrent fidèles à Labitte, malgré le juste renom de ses continuateurs. Ceci est prouvé par Hauréau par les éditions presque récentes du livre original.
Méliphage bruyant L'ornithologue John Latham décrivit le méliphage bruyant quatre fois dans son livre de 1801 "Supplementum Indicis Ornithologici, sive Systematis Ornithologiae" sans apparemment remarquer qu'il s'agissait du même oiseau : le guêpier jaseur ("Merops garrulus"), le quiscale à tête noire ("Gracula melanocephala"), le guêpier à capuchon ("Merops cucullatus") et guêpier à tête blanche ("Merops albifrons"). Les premières notes rapportent qu'il avait tendance à effrayer les proies lorsque les chasseurs se préparaient à tirer. C'est sous le nom de guepier jaseur qu'il fut peint pour la première fois entre 1792 et 1797 par Thomas Watling, peintre et illustrateur appartenant à un groupe appelé les « peintres de Port Jackson ». John Gould utilisa le nom "Merops garrulus" pour réaliser la première description de l'espèce et la renomma "Myzantha garrula" dans son livre de 1865 intitulé "Handbook to the Birds of Australia", lui donnant le nom commun de méliphage bavard et notant le nom alternatif de méliphage jaseur. Il écrivit que les colons de Tasmanie l'appelaient géositte et que les aborigènes de Nouvelle-Galles du Sud le nommaient "cobaygin". "Que que gang" était un nom donné par les aborigène des Montagnes Bleues.