Les 10 mots similaires ou synonymes de constatai

regardais    0.829404

souhaiterais    0.825548

rencontrais    0.825101

lisais    0.823695

dirais    0.823336

croyais    0.823261

appelais    0.821482

verrai    0.817579

ressentais    0.817192

dessinais    0.816560

Les 30 mots analogues ou les synonymes de constatai

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Phare d'Alexandrie Étant allé au Phare […] je constatai que son état de délabrement était tel qu'il n'était plus possible d'y entrer ni d'arriver à la porte y donnant accès.
Henri Mordacq Cependant l'ampleur des réformes et des mesures à mettre en œuvre est considérable : "Dès les premiers jours après mon arrivée, je constatai rapidement que les bruits qui couraient au front sur le ministère de la Guerre étaient des plus fondés : tout le monde y commandait, sauf le ministre ; les « bureaux », plus que jamais, y étaient les maîtres. Il fallait commencer par tout y réformer : sûr de l’appui de M. Clemenceau, je me mis aussitôt à l’œuvre."
Joseph Kramer Au début d'août 1943, je reçus les 80 internés destinés à être supprimés (...), et je commençai par faire conduire dans la chambre à gaz un certain soir, vers 9 heures, à l'aide d'une camionnette, une première fois, une quinzaine de femmes environ. Je déclarai à ces femmes qu'elles devaient passer dans la chambre de désinfection et je leur cachai qu'elles allaient être asphyxiées. Assisté de quelques SS, je les fis complètement se déshabiller et je les poussai dans la chambre à gaz, alors qu'elles étaient toutes nues. Au moment où je fermais la porte, elles se mirent à hurler. J'introduisis, après avoir fermé la porte, une certaine quantité de sels dans un entonnoir placé au-dessus à droite du regard. Puis, je fermai l'orifice de l'entonnoir à l'aide d'un robinet qui était adapté dans le bas de cet entonnoir, prolongé lui-même par un tube en métal. Ce tube en métal conduisit le sel et l'eau dans l'excavation intérieure de la chambre dont je viens de vous parler. J'allumai l'intérieur de la chambre à l'aide du commutateur placé près de l'entonnoir et j'observai par le regard ce qui se passait à l'intérieur de la chambre. Je constatai que ces femmes ont continué à respirer une demi-minute, puis elles tombèrent à terre. Lorsque j'ouvris la porte après avoir fait en même temps marcher la ventilation à l'intérieur de cheminée d'aération, je constatai que ces femmes étaient étendues sans vie et qu'elles avaient laissé échapper leurs matières fécales. J'ai chargé deux officiers SS infirmiers de transporter ces cadavres dans une camionnette, le lendemain matin, vers 5h30, pour qu'ils soient conduits à l'Institut d'anatomie, ainsi que le professeur Hirt me l'avait demandé. Quelques jours après, dans les mêmes conditions que sus-indiquées, j'ai conduit de nouveau dans la chambre à gaz une certaine quantité de femmes qui furent asphyxiées de la même façon, puis encore quelques jours après, j'ai fait conduire dans la chambre à gaz, en deux ou trois fois, peut-être une cinquantaine d'hommes environ, peut-être cinquante-cinq qui furent supprimés toujours à l'aide de ces sels que je tenais de Hirt. "Demande" Vous m'avez tout à l'heure, parlé des conditions dans lesquelles vous avez exécuté les internés à l'aide de gaz asphyxiants. Au cas où les internés n'auraient pas été tués à la suite de l'introduction des gaz, faite par vous, les auriez-vous achevés à l'aide d'une balle ? J'aurais tenté de les asphyxier à nouveau en projetant dans la chambre une seconde dose de gaz. Je n'ai éprouvé aucune émotion en accomplissant ces actes, car j'avais reçu l'ordre d'exécuter de la façon dont je vous ai indiqué les 80 internés. J'ai d'ailleurs été élevé comme cela.
Jan Karski Karski rencontre le ministre britannique des Affaires étrangères, Anthony Eden. Eden et Karski ont tous deux laissé des rapports sur cet entretien. Dans un livre publié en 1978, Jan Nowak, autre courrier de la résistance polonaise, écrira : « Je savais par Jan Karski lui-même qu’il avait profité d’une audience chez Eden pour parler en détail de l’extermination systématique et progressive de la population juive. Le secrétaire d’État britannique avait estimé cet entretien suffisamment important pour en communiquer le compte rendu à tous les membres du cabinet de guerre. Je le retrouvai dans les Archives et constatai avec étonnement que rien de ce que Karski avait déclaré concernant la liquidation des Juifs n’y figurait. Pourquoi ? » Neuf ans après la publication du livre de Nowak, Karski donnera une version différente : il n'avait pas parlé en détail à Eden de l'extermination des Juifs, il avait seulement essayé d'aborder le sujet, mais Eden l'avait interrompu en disant qu'il connaissait déjà « le rapport de Karski », ce que Karski s'expliqua plus tard en supposant qu'Eden avait lu le rapport que le gouvernement polonais en exil avait rédigé à partir des documents apportés de Pologne par Karski.
Alfred de Vergnette de Lamotte Citons la communication publiée par Alfred de Vergnette : « En 1840 des vins de cette récolte avaient été mis en bouteille au décuvage. Après avoir été bouchées ficelées et exposées au bain-marie à une température de 70 degrés, elles furent descendues à la cave et oubliées. En 1846 (alors que la plupart des vins de 1840 dont les raisins furent grêlés, avaient subi une maladie à laquelle plusieurs succombèrent) quelques bouteilles de ce vin se trouvèrent sous ma main avec leur étiquette et je constatai avec une remarquable satisfaction qu’ils étaient dans le meilleur état de conservation. Nous avons répété cette expérience sur d’autres vins à l’époque de leur mise en bouteille et nous avons réussi, en faisant varier la température du bain-marie de 50 à 75 degrés, à préserver les vins de qualité soumis à ces essais de toute altération ultérieure. Nous ne terminerons pas cette notice sans conseiller aussi pour les vins qui doivent être expédiés en bouteille, un essai dont la réussite a été complète pour les vins blancs. On soumet les bouteilles bouchées et ficelées à la chaleur d’un bain-marie en ayant soin d’éteindre le feu dès que la température atteint 70 degrés. Quand cette eau est descendue au degré de la température ambiante, on les en retire et on les goudronne. J’ai soumis à mes essais de grands vins blancs de Bourgogne qui après avoir subi ce traitement avaient fait deux fois le trajet des Antilles sans subir la moindre altération » .