Les 10 mots similaires ou synonymes de addita

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earum    0.910153

aliorum    0.910076

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Les 30 mots analogues ou les synonymes de addita

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Lexicon universale La première édition eut lieu en 1677 à Genève (publié à Bâle) en deux volumes in-folio, intitulé « Lexicon Universale historico-géographico-Chronologico-poético-Philologicum : Continens Historiam Omnis Aevi, Geographiam omnium Locorum, Genealogiam principum Familiarum, addita ubique Chronologia tum veteri tum recentiore, Mythologiam insuper omnium Fabularum, Discussionem Philologicam illustrium circa haec occurrentium Difficultatum... ».
Opicinus de Canistris Opicinus l'a rédigé entre juin et novembre 1337 et y a ensuite inséré des "addita" (le dernier en décembre 1352). Identifié par Roberto Almagià pendant la Deuxième Guerre mondiale, ce manuscrit a récemment fait l’objet d’une édition-traduction complète par Muriel Laharie, médiéviste, et de diverses études par Guy Roux, psychiatre. Leur interprétation est cependant contestée, notamment par un livre de l'historien Sylvain Piron qui pointe des contresens et des erreurs de traduction.
Jean Morély Après sa dernière condamnation au Synode de Nîmes, l’église de Paris, qui jusque-là ne lui avait pas été hostile, se tourna aussi contre lui. À dater de cette époque, Morély disparait de la scène. Tout porte à croire qu’il passa en Angleterre, et qu’il est le même que Jean Morel ou plutôt Moreli (Joannes Morelius), fugitif de France pour cause de religion, déjà vieux et presque décrépit en 1589, comme il le dit lui-même dans la dédicace à la reine Élisabeth de son "Tractatus de ecclesiâ ab Antichristo per ejus excidium liberandâ, eâque ex Dei promissis beatissime reparandâ : cui addita est ad calcem verissima certissimaque ratio conciliandi dissidii de coenâ Domini", Londres, 1589, in-8° ; trad. en allemand par F. Kranmeyer, sous le titre de "Extirpatio Antichristi, sive Explicatio in Apocalyps. S. Joannis qualiter Antichristus ex christianâ Ecclesiâ exterminari possit, cum solutione litis de coenâ Domini", Bâle, 1594, in-12.
Hoyningen-Huene D'après les recherches de l'héraldiste Ernst Heinrich Kneschke (1798-1869), la famille est originaire de Westphalie, puis s'installe dans le Bas-Rhin. On y trouve plus d'une vingtaine de branches Hoyningen avec différentes variantes orthographiques. Quelques membres suivent l'ordre Teutonique en Courlande au Moyen Âge. Le premier registre de la noblesse allemande édité aujourd'hui à Limburg fait mention le 19 septembre 1500 d'un certain "Johann von Hoyningen dit Huene" qui reçoit en fief des terres près de la Sessau et de la Aa. C'est le fils de Jost von Hoyningen-Huene venu de Westphalie dans la seconde moitié du en Livonie et mort en 1480 dans une bataille contre les Russes, et c'est l'ancêtre des Hoyningen-Huene de la Baltique qui s'installent en Courlande. Leurs domaines sont depuis Aahof et Sessau en Courlande, plus tard ils acquièrent Feldhof, Jostan, Kleinbersteln, Subern, Simmeln, Zunzen et Großsatticken. La famille est divisée en quatre branches: une en Courlande, deux dans l'actuelle Estonie et une dans l'île d'Ösel. À l'époque de l'Empire russe, la famille agrandit ses domaines dans le gouvernement d'Estland et le gouvernement de Courlande, ainsi qu'en Livonie avec Addita, Collef, Eckhof, Feldhof, Heimar, Jedefer, Katfel, Kelp, Pobbirzen, Rahden Wagninnen et Wannemeis. Elle possède aussi un domaine dans le gouvernement de Kherson au bord de la mer Noire.
Buru 10 des 178 espèces d'oiseaux recensées sont endémiques de Buru et des îles voisines : la Palette de Buru ("Prioniturus mada"), la Perruche de Buru ("Tanygnathus gramineus"), le Lori de Buru ("Charmosyna toxopei"), le Méliphage de Buru ("Lichmera deningeri"), l'Échenilleur de Buru ("Coracina fortis"), le Gobemouche à gorge rayée ("Rhinomyias addita"), le Zostérops à gorge rousse ("Madanga ruficollis"), le Zostérops de Buru ("Zosterops buruensis"), le Rhipidure de Buru ("Rhipidura superflua") et le Monarque de Buru ("Monarcha loricatus"). Parmi ceux-ci, le Zostérops à gorge rousse est considéré par l'UICN comme en danger et la Perruche de Buru comme vulnérable ; les deux espèces n'ont été observées que dans des zones très réduites de l'île. 19 autres oiseaux sont presque endémiques de Buru : l'Épervier à gorge grise "(Accipiter erythrauchen)", le Mégapode de Forsten ("Megapodius forstenii"), le Mégapode de Wallace ("Eulipoa wallacei"), le Carpophage à lunettes "(Ducula perspicillata)", le Carpophage mada "(Gymnophaps mada)", le Lori écarlate "(Eos bornea)", la Ninoxe des Moluques "(Ninox squamipila)", l'Effraie des Tanimbar "(Tyto sororcula)", le Myzomèle de Forbes "(Myzomela wakoloensis)", le Polochion des Moluques "(Philemon moluccensis)", le Siffleur terne "(Pachycephala griseonota)", le Monarque à nuque blanche "(Monarcha pileatus)", le Monarque des Moluques "(Myiagra galeata)", le Loriot de Buru "(Oriolus bouroensis)", l'Échenilleur pâle "(Coracina ceramensis)", la Grive de Dumas "(Zoothera dumasi)", le Gobemouche de Buru "(Ficedula buruensis)", la Bouscarle marron "(Bradypterus castaneus)" et le Dicée à gorge blanche "(Dicaeum erythrothorax)". Parmi les papillons, 25 % des Pieridae et 7 % de Papilionidae sont endémiques de l'île.